Magritte

Avant même d'entendre son nom, je fus intrinsèquement attiré par sa peinture. Les images qui me sautèrent au visage furent une vraie révélation pour moi et surtout, le doux murmure que dans l'art, il y avait une liberté possible.

Aussi, dès que j'en sus un peu plus sur lui, sa vie mais surtout son œuvre, me fascina. Je n'ai pas de qualités requises pour être bon ou mauvais critique d'art en peinture, mais le travail de Magritte force le respect, du moins le mien, et nous emporte dans un monde ou tout semble tellement possible, voir évident.

Souvent on se dit en admirant une de ses toiles : mais oui, bien sûr, c'est logique. Pourquoi n'y avais-je pas pensé bon sang !

Comme si le sujet surréaliste devenait tout ce qu'il y a de plus normal et de probable. Un grand pas vers l'imaginaire palpable, dont je me gavai si souvent, que ce soit avec des artistes comme Magritte ou des écrivains comme Jules Vernes.

Chapeau (melon) bas donc, Monsieur Magritte, et je suis ravi de voir que le musée Magritte que je viens de visiter à Bruxelles est terminé.

Si vous passez par cette ville sympathique, allez jeter un oeil sur les toiles de ce peintre ayant marquer le monde entier, et n'oubliez pas qu'il fut un des plus grands surréalistes ou en tout cas, l'un des plus marquants.