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DE ROUILLE ET D'OS

De Rouille et D'os

 

Ça commence dans le Nord.
Ali se retrouve avec Sam, 5 ans, sur les bras. C’est son fils, il le connaît à peine. Sans domicile, sans argent et sans amis, Ali trouve refuge chez sa sœur à Antibes. Là-bas, c’est tout de suite mieux, elle les héberge dans le garage de son pavillon, elle s’occupe du petit et il fait beau.
A la suite d’une bagarre dans une boîte de nuit, son destin croise celui de Stéphanie. Il la ramène chez elle et lui laisse son téléphone.


Il est pauvre ; elle est belle et pleine d’assurance. C’est une princesse. Tout les oppose.
Stéphanie est dresseuse d’orques au Marineland. Il faudra que le spectacle tourne au drame pour qu’un coup de téléphone dans la nuit les réunisse à nouveau.
Quand Ali la retrouve, la princesse est tassée dans un fauteuil roulant : elle a perdu ses jambes et pas mal d’illusions.

Il va l’aider simplement, sans compassion, sans pitié. Elle va revivre.

Le film de Jacques Audiard est une adaptation du recueil de nouvelles de Craig Davidson, "Un goût de rouille et d'os", publié en septembre 2005. Cet auteur américain assez controversé, souvent comparé à Chuck Palahniuk (Fight Club), se lança, après le succès de ce recueil, dans une consommation excessive de stéroïdes, et alla même jusqu'à se battre avec le poète Michael Knox pour promouvoir son nouveau roman, "Juste être un homme", centré sur le monde de la boxe.

Remis de ses élucubrations, il publia en 2010 un autre roman, "Sarah Court", évoquant l'envers du décor dans un petit lotissement américain.


DE ROUILLE ET D'OS

 



28/05/2012
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